Alors que l'identité du Roi
Vampire restait un mystère, Batman tenta de prendre le dessus sur ceux qui
avaient infiltré la Justice League. Mais son ennemi ayant plus d'un atout, il
se fit surprendre et assassiner par Nightwing, qui n'était autre que le Roi
lui-même… Alors que la purge a commencé, Harley Quinn s'est injectée le sang de
Lex Luthor, qui contient un composant fatal aux vampires, et se met en ordre de
marche pour sauver le monde d'un destin funeste !
DC vampires 2 Purge
Scénario : James Tynion IV, Matthew Rosenberg, Alex
Paknadel, Guillaume Singelin, Emma Vieceli
Dessin et encrage : Pasquale Qualano, Guillaume Singelin, Otto
Schmidt, Haining
Couleur : Nicola Righi, Otto Schmidt, Haining
Traduction : Julien Di Giacomo
Lettrage : Cyril
Bouquet
Édition : Urban Comics
Dépôt légal : mai 2023
I.S.B.N. 979-1-0268-2702-3
L'histoire est classique, des retournements de situation attendus, des
lueurs d'espoir un peu ridicules qui sont éteintes très vite comme attendu, des
personnages oubliés ressortis parce que si on le fait pas là, on le fera
jamais, c'est sympa, mais clairement, c'est pas pour l'histoire qu'on plonge
dedans. Non, si on plonge dedans, c'est grâce aux dessins, notamment ceux
d'Otto Schmidt (j'adore ce dessinateur, son trait est génial, je trouve juste
dommage qu'il ne fasse que du Green Arrow, la licence Batman aurait bien besoin
de ses pinceaux). En fait, les meilleures histoires sont les histoires annexes.
Les petits bonus, déjà dans le premier il me semblait qu'elles supplantaient la
principale, là, c'est le jour et la nuit. Il y a celle sur Nightwing qui est
sympa et dont le dessin est excellent, mais il y a surtout, cocorico,
l'histoire de Guillaume Singelin mettant en scène une Batgirl incroyable qui
affronte son père dans une scène intense, bien écrite et merveilleusement
dessinée. Si DC voulait engager monsieur Singelin sur une série Batgirl, je
pense que je la suivrais avec un plaisir même pas caché tellement j'ai adoré
cette scène. L'album dans son entier ne vaut vraiment le coup que pour cette
histoire en fait, sinon, c'est un peu cher pour quelque chose d'aussi convenu.
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