jeudi 1 mars 2012

Bouyoul n'est pas un conte de fée!

Ça y est! On sait d’où vient Bouyoul! Bouyoul aussi le sait... et il ne veut surtout pas y retourner. Ce qui n’est pas le désir de tout le monde visiblement. Arghh ça va (encore) saigner!

Bouyoul n’est pas un conte de fée!
De Loran Crenn
Édité chez Petit à Petit
en septembre 2010
I.S.B.N. 978-2-84949-215-4


En fait, j’ai envie de grogner quand je lis ça. Je ne sais pas pourquoi, peut-être le côté bête et méchant. Alors en fait, ce tome est un recueil des deux premiers tomes avec quelques inédits. Pourquoi l’ai-je? Parce qu’en bon fan, je voulais les inédits, d’autant plus que j’ai offert le tome deux à quelqu’une, et que je n’ai appris qu’après qu’il n’était plus édité... Bref, ça n’enlève rien à l’efficacité de ce tome (comme pour tous les autres, remarque). En fait, on voit venir le truc des kilomètres avant, mais malgré tout à chaque fois (chaque lecture, chaque page presque) ça m’arrache le sourire, et pourtant je suis pas du genre souriant. Mais c’est tellement bon. En plus, dans celui-ci, y a plein de références à Jean-Louis Marco, auteur de ceci, et du coup, c’est rigolo, surtout quand on connait un peu les histoires des deux types. Un album excellent à lire et relire.


Encore une dédicace, et oui, j’en ai sur presque tous les albums de ce monsieur (qui doit vraiment en avoir marre de mes demandes pénibles). Me manquent plus que les deux tomes de Ash (et si je suis pas très sympa, je demanderai même sur le comic book livré avec le tome 2 de la série sus-nommée). Celle-ci, je l’ai eu au festival bd Pyrénées, deuxième édition, le week-end dernier (le 03 avril 2011 donc). Et il en a marre de me voire arriver avec des bouquins à lui, je peux le lire sur son visage quand je m’assoie, et à chaque fois «attends.... toi, c’est les perso de Batman en zombie c’est ça?». Bref, à chaque fois il fait malgré tout des trucs top cool. Ça m’embête presque de lui demander des trucs pénibles à chaque fois parce qu’il est quand même super sympa le type, un peu le même genre que Jean-Louis Marco dont je parle plus haut. Enfin, je vais arrêter de faire l’éloge de ces deux types parce que ça suffit quand même. En tout cas, merci (même si je doute qu’il(s) ne lise(nt) ces lignes).

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