mardi 22 février 2022

Monstresse(s)

 


Lovée au creux du sein maternel, son cruel poison s'insinue dans le lait intime, corrompt et pervertit jusqu'au socle même de la société. C'est la dévoreuse, la puissance féminine de l'ombre, crainte et pourchassée à égale mesure. Qui se cache derrière ces traits tantôt hideux, tantôt radieux ? Descendez aux côtés de nos auteurs dans les catacombes de la civilisation, explorez cette peur du féminin, excavez les tabous qui l'habillent, parure de chair et de sang, ornement de stupre et de vengeance...

Monstresse(s)

Autrices / Auteurs : Xavier Lhomme, Maxence Madone, Sarah Kügel, Dola Rosselet, Gillian Brousse, Népenth S., Émilie Chevallier, Charlène Ferlay, Éli Boudeau, Maëlig Duval, Kathrine Hasnaoui, Morgane Stankiewiez

Édition : Noir d'Absinthe

Dépôt légal : décembre 2021

I.S.B.N. 978-2-490417-79-7

Je vais passer rapidement sur l'entièreté de ce bouquin, certains textes sont excellents, certains sont moins bons. L'ensemble reste très agréable à lire même s'il y a un ou deux textes qui ne m'ont pas accroché du tout. Je voudrais m'intéresser maintenant à un texte en particulier, pourquoi ? Parce que je fais ce que je veux, c'est chez moi ici et parce que c'est grâce à ce texte que j'ai pris ce livre. Le texte de Sarah Kügel (Reine Chouquinette de l'ultime). Depuis le premier nouvember (événement facebook se déroulant en novembre donc), je suis super fan de l'écriture de cette jeune fille, il est donc tout naturel que je suive ses exploits. Voici le dernier en date, et même si elle a la vilaine habitude d'écrire des textes qui me déshydratent à chaque lecture, je n'ai de cesse d'y revenir tant l'écriture est belle, tant les images sont présentes (normal me direz-vous, c'est une graphiste de génie et vous aurez bien raison) et tant ses histoires sont bien faites. Voilà, pour les autres textes, encore une fois, une grande majorité sont incroyables, deux sont un peu en deçà du reste (de moins point de vue hein), mais ça n'enlève rien à la qualité de chaque écriture. Bravo messieurs mesdames, et merci.

 


J'en reviens donc à Sarah Kügel qui m'a envoyé ce livre magnifique avec des mots doux dedans, merci infiniment Sarah, merci de me faire lire des histoires prenantes, trépidantes et, disons-le, super déshydratantes, continuez de continuer, je vous en supplie.

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