Désormais Bruce Wayne est enfermé en prison, mais il a noué une
relation de plus en plus forte avec son ancienne ennemie, l'ex-compagne de Jack
Napier, Harleen Quinzel. Jeune maman, celle-ci est contactée par le GCPD pour
l'épauler sur une affaire qui va faire remonter à la surface les souvenirs
encore vivaces de son passé de criminelle.
Batman : White Knight Harley Quinn
Scénario : Katana
Collins
Dessin : Matteo Scalera
Couleur : Dave
Stewart
Traduction : Benjamin Rivière, Julien Di Giacomo
Lettrage : Sabine Maddin, Stéphan Boschat, Moscow Eye
Édition : Urban Comics
Dépôt légal : octobre 2021
I.S.B.N. 979-1-0268-2061-1
Avant de dire toutes les merveilles que je pense de cet album, je
voudrais dire que je ne suis pas super fan des pages floues. D'un, parce qu'on
paye les bouquins suffisamment chers pour espérer n'avoir pas à plisser les
yeux pour les lire, de deux parce que c'est un manque de respect vis à vis du
client et surtout de trois parce que c'est un manque de respect abominable vis
à vis du travail des auteurs. Une de temps en temps, pourquoi pas, je ne suis
pas un râleur, mais dans cet album, il y a quand même minimum 6 pages floues
(minimum parce qu'il est possible que j'en ai oublié entre le début et la fin
de la lecture). Voilà, maintenant que ça, c'est dit, passons à ce qui nous
intéresse, ce sublime album. Au début, j'ai eu peur. Il se trouve que Sean
Murphy n'est pas aux commandes ici, mais le dessin reste parfaitement
magnifique (quand il n'est pas flou) et l'histoire est exceptionnelle elle
aussi. J'aime vraiment ce que fait cette famille à l'univers Batman, et
j'espère qu'ils continueront (mari et femme) à nourrir cette série du White
Knight parce que pour l'instant, c'est un sans-faute. Une vraie partition
d'efficacité et de revisite. À lire et à avoir absolument !!
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire