Que se passe-t-il après les douze coups de minuit? Mari rencontre un musicien dans un bar, sa sœur partage à son insu le sommeil d’un inconnu... Pour les âmes solitaires d’une ville assoupie, les expériences se succèdent, entre fantasmagorie et réalité. Le lecteur, voyeur protégé par l’obscurité, palpe les rêves inquiétants des acteurs de la nuit.
Le passage de la nuit
De Haruki Murakami
Traduction d’Hélène et Théodore Morita
Édité chez 10/18
en juin 2008
I.S.B.N. 978-2-264-04685-7
C’est toujours très bien écrit, toujours
très bien fait, toujours assez prenant mais beaucoup moins ici que pour les
autres. Est-ce parce que le lecteur est pris à partie ou parce que c’est trop
court, ou encore parce que la fin est un peu trop ouverte? Je ne saurais dire,
mais j’ai un peu moins accroché celui-ci que les autres, je me suis moins
projeté dans le truc, ce qui est dommage, parce que ce n’est pas mal du tout,
mais bon, ça peut pas fonctionner à chaque fois j’imagine. Un bon livre au demeurant.
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