jeudi 8 mars 2012

The killing joke

One bad day. According to the grinning engine of madness and mayhem known as The Joker, that’s all that separates the sane from the psychotics. Freed once again from the confines of Arkham Asylum, he’s out to prove his deranged point. And he’s going to use Gotham City’s top cop, Commissioner Jim Gordon, and his brillant and beautiful daughter Barbara to do it. Now Batman must race to stop his archnemesis before his reign of terror claims two of the Dark Knight’s closest friends. Can he finally put an end to the cycle of bloodlust and lunacy that links these two iconic foes before it leads to its fatal conclusion? And as the horrifying origin of the Clown Prince of Crime is finally revealed, will the thin line that separates Batman’s nobility and The Joker’s insanity snap once and for all?

Batman : The killing joke
Scénario d’Alan Moore
Dessin et couleurs de Brian Bolland
Édité chez DC Comics
en mars 2008
I.S.B.N. 978-1-4012-1667-2


Je sais pas. Là, il faudrait que je trouve des mots super forts pour décrire à quel point elle est triste cette bande dessinée... Non, il faut la lire pour voir à quel point elle est balèze... Dure... Ouais, c’est ça, il est super dur cet album... Mais ça reste très beau. Sublime.

Du grunge en génétique 2

Une série de meurtres parmi les Croisés met Umma et ses amis en alerte. Est-ce l’œuvre de Siba, décidée à empêcher quiconque d’approcher ‘’l’Abomination’’? Ou bien l’assassin est-il lui-même un Croisé cherchant à éliminer la concurrence? Un accident imprévu révèle que les crimes ont été commandités par une secte. Ses membres sont forcés de s’enfuir de New York, mais Umma est déjà sur leur trace. Elle sait qu’elle devra se montrer prudente si elle veut protéger le Pénitent. Mais elle ignore que Lordy compte se dresser sur son chemin, et qu’elle est prête à faire du Vatican Bleu lui-même l’instrument de sa vengeance.

Du grunge en génétique 2 Time out
Scénario de Roberto Bayeto
Dessin et couleurs de Zalozabal
Traduction et édition chez Erko
en août 2003
I.S.B.N. 90-77001-34-4


Excellente fin. Ce tome est grandiose, tout comme le premier. Ça reste une des rares bandes dessinées où l’intrigue principale n’est pas du tout, mais alors pas du tout traitée. Enfin, on en voit un peu quand même, mais c’est tellement pas le plus important, ça dévie complètement, et naturellement, à aucun moment c’est mal foutu ou quoi, non non, on s’éloigne du but premier, on n’apprend quasi rien dessus, mais ça ne choque pas du tout. Et la dernière page. Tout simplement géniale. Un vrai plaisir ces deux albums.

Midnighter Machine à tuer

Je sais quelles sont tes aptitudes particulières. Je vois les améliorations. Je détecte l’intense activité électrique de ton cerveau. Je sais quels gestes tu te prépares à faire. J’ai déjà mené ce combat, dans ma tête, d’un million de façons différentes. Je peux te frapper sans même que tu me voies. Je suis ce que les soldats rêvent de devenir. Je suis ce que voient les enfants quand ils se représentent la mort pour la première fois. Je suis Midnighter.

Midnighter Machine à tuer
Scénario de Garth Ennis
Dessin de Chris Sprouse, Joe Phillips, Peter Snejbjerg et Glenn Fabry
Couleurs de Randy Mayor, WildStorm FX et Jonny Rentch
Traduction de Jérémy Manesse
Édité chez Panini Comics
en juillet 2011
I.S.B.N. 978-2-8094-1941-2


Ce personnage est génial. Il est excellent. Il est méchant, il est violent, il est sadique, il est rustre… Machine à tuer est une histoire super bien montée, bien développée, tout bien comme il faut. L’autre est un peu moins bonne à mon goût, mais juste parce qu’il s’agit d’un Midnighter, ce serait un superbe conte japonais si ce nom n’était pas attaché dessus. Mais ça reste malgré tout, vraiment très bon. J’adore.

Du grunge en génétique 1

Dans un monde futur à la Brazil, mais au design plus sexy et joyeux, l’industrie du loisir est devenue l’un des piliers de la civilisation. La détentrice d’une agence artistique, Umma Kurtha, voit sa tranquillité financière menacée par la sortie par la multinationale interplanétaire Siba d’un nouveau produit, le kit CAGE (kit de Construction Animale Génétique), qui permet aux enfants de créer des êtres vivants ou des phénomènes biologiques dans leur cave. Mais faut-il croire la garantie qui assure que le kit ne peut être appliqué au matériel génétique humain? C’est pour le découvrir qu’Umma va se lancer dans une enquête qui lui mettra vite à dos la multinationale en question, mais aussi une secte, la mafia russe, divers monstres, et bien d’autres choses encore...

Du grunge en génétique 1 Révélations
Scénario de Roberto Bayeto
Dessin et couleurs de Zalozabal
Traduction et édition chez Erko
en février 2002
I.S.B.N. 90-77001-07-7


Excellente bande dessinée. Ça faisait très longtemps que je ne l’avais lue, et c’est de nouveau un plaisir, l’univers est super bon de saleté, glauquerie et ruine, les personnages sont géniaux de violence, naturel et d’un autre truc (je sais pas pourquoi, je voulais trois points, mais seulement deux sont sortis). Bref, c’est vraiment chouette, plein d’humour, un peu violent, mais pas trop, l’intrigue est très bien ficelée. J’adore.

Daffodil 3

Daffodil 3 Le monstre
Scénario de Frédéric Brrémaud
Dessin de Giovanni Rigano
Couleurs de Paolo Lamanna
Édité chez Soleil
en août 2007
I.S.B.N. 978-2-84946-702-2


Excellente histoire. Un poil plus détaillée que les deux précédentes. Je ne sais pas si c’est la dernière, si la série est finie, mais je ne crois pas qu’ils en aient sorti d’autre depuis, et c’est dommage. D’autant plus que les dessins sont bien plus beaux dans cet album et oui, je reviens dessus, mais l’histoire est bien meilleure aussi. De loin le meilleur des trois si vous voulez mon avis, et si vous ne le voulez pas, je me demande ce que vous faites là, eheheheh.

H.P. Lovecraft’s haunt of horror

Several dooms await you in Haunt of Horror : H.P. Lovecraft. Legendary artist Richard Corben, with his trademark stylings, puts a graphic twist on some of horror master H.P. Lovecraft’s finest work. These classics have not only been retooled for the comic-book medium, but are also accompanied by Lovecraft’s original text. Be afraid, be very afraid – for you are about to be introduced to other worlds, ones ruled by eerie gods and horrors unlike any you’ve seen before.

H.P. Lovecraft’s haunt of horror
De Richard Corben
Édité chez Marvel
en novembre 2008
I.S.B.N. 978-0-7851-3287-5


Habile mariage entre la bande dessinée adaptation  et les textes originaux. C’est une bonne idée que de mettre les originaux. Déjà, parce que ça m’a permis de découvrir les travaux de Lovecraft, j’en avais toujours vu que des adaptations, et en fait, l’écriture est bonne et élégante, et puis parce que comme ça, même les lecteurs de bande dessinée peuvent se la péter à aimer de la littérature. Le travail d’adaptation est bon dans l’ensemble, il y a une histoire pour laquelle je la trouve assez maladroite, mais c’est juste parce que je suis un râleur incontesté. Excellent album cela dit.